Collection Soumise. Fille De… (2/8)

Deux mois que le soir où j’ai accepté de venir donner la moitié des billets pour regarder la Bohême à l’opéra de la Bastille, j’ai été dépucelé par Pierre homme marié avec Marie, femme dépressive, dans ce qui peut ressembler à une garçonnière.
Deux mois que régulièrement, j’ai appris mon métier de femme, certes pas, au foyer, mais allongée ou sur une table voire la chaise où il me baise m’apprenant toutes les dérives de l’amour.

À ce stade du deuxième chapitre de mon histoire, je dois reconnaître que la petite fille sage de dix-huit ans qui rencontrait son futur amant à son premier repas de jeune femme majeur, je suis devenue une immense salope.
Je dirais même que je suis devenue une folle du cul.

• Chérie, joyeux Noël, je sais, c’est dans trois jours, mais si je passe le maximum de soirée avec toi, j’ai des obligations envers mes s et je dois passer cette soirée avec eux et elle aussi par obligation.
• Comment va-t-elle ?
• Pour le moment, ça va, la seule chose que je crains, c’est qu’elle apprenne notre liaison, j’ignore qu’elle serait sa réaction.
• Ne t’en fais pas, je sais où se trouve ma place, dit toi que je serai toujours prête à t’aider, mais sinon, je saurais rester dans l’ombre, même si je t’aime, tu resteras toujours le premier.
• Comme tu me dis que tu es prête à m’aider, accepterais-tu de sortir avec moi le soir du premier de l'An ?
• Je suis prête à prendre le risque que père et mère apprennent que leur petite fille chérie est la maîtresse de leurs amis.
Ou veux-tu aller ?
• Tu me fais confiance, je crois que tu n’as pas regretté que je t’envoie deux billets déchirés en deux parties que nous avons ressoudés.
• Tu as raison, comment je dois m’habiller ?
• Viens allons faire quelques emplettes, les vêtements que tu as amenés ici sont très jolis, mais je pense que l’on peut faire mieux.
En même temps, nous passerons pour que tu choisisses ton cadeau de Noël.



Vêtements plus sexy que ceux que j’ai l’habitude de porter, on est en hiver, il m’offre un manteau de fourrure blanc qui lui coûte près de 5 000 €, en mouton bien sûr, comme toute jeune femme, je suis pour la protection des espèces à fourrure en voie de disparition.
Je pense que l’argent qu’il a dépensé pour Noël est largement suffisant, mais il souhaite plus, nous entrons dans la boutique Mercedes des Champs-Élysées.

• Monsieur, Madame, que désirez-vous ?
• Je voudrais que vous montriez à madame les voitures que vous avez à lui proposer comme modèle classe A, plus particulièrement A1.

Il me montre un modèle rouge, j’en tombe de suite amoureuse, en homme du monde, ils s’éloignent pour parler gros sous.
Après toutes les emplettes qu’il a faites pour moi, j’ai nettement l’impression que je viens de devenir, de fille de… au stade de fille entretenue sans que mes parents ne le sachent.

• Mademoiselle passera la chercher dans quelques jours, qu’elle soit prête.
• Mais je n’ai pas mon permis !
• Quelques leçons pour savoir maitriser une telle voiture et la chose sera faite.
Le papier rose sera une formalité, ne sommes-nous pas l’élite de notre pays.

Quand nous rentrons, un traiteur a livré le repas de Noël cloue de cette soirée.
Fauchon, l’un des sommets de l’alimentation des gens aisés sur la place de Paris, surtout le champagne frappé à point.

• Chérie, à mon tour de t’offrir mon cadeau de Noël, comme il est impossible d’aller demander une grosse somme d’argent à père et mère leur dévoilant ainsi que je suis ta putain, je vais te faire cadeau de la seule chose qui reste ma seule propriété, mon anus, sodomise-moi, tu ignores à quel point j’en ai envie.
• Comme tu y vas ma putain, comment dois-je prendre ces mots, compliment ou critique.
• Prends-moi par-derrière, tu philosopheras plus tard, c’est mon cadeau mon amour.

Comme à notre habitude, nous mangeons nus, je m’approche et je m’agenouille pour le prendre dans la bouche, je métrise parfaitement la fellation et il est en état de me prendre par-derrière rapidement.

Il semble content de ce que je vais lui offrir, mais il balaye d’un mouvement de bras, assiettes et verres fournis par le traiteur, sans oublier les chandeliers et pour la première fois il me redresse avec rudesse par les cheveux pour me coucher les seins sur la table débarrasser à sa manière.
D’une main mes cheveux, de l’autre sa verge qu’il empoigne, position et qu’il fait pénétrer d’un seul mouvement sans aucune précaution.
Je hurle, mais suis satisfaite, je me souviendrai de mon Noël et de mon dépucelage anal.

• Voilà comment depuis des années, j’avais envie de sodomiser une petite pute, tu as raison, j’ai fait de toi m'a protégée, donc, ma petite salope.
• Dis le mot mon amour, ta pute, je suis ta pute, ta pute, oui, bouge en moi, je vais te malaxer la verge avec les muscles de l’anus.

Coup de chance que je suis couchée les seins collés à la table, je m’écroulerais quand je suis dévasté, une nouvelle fois après tant de débordement, il faut qu’il me porte jusqu’au lit.

• Chéri, ou vas-tu m’emmener pour le premier de l'An ?
• Après ce que je viens de voir et de te faire, tu seras surprise de l’endroit où je vais t’emmener, je crois que tu es prête à franchir cette étape dans ta vie, mais tu verras bien lors du réveillon de la Saint-Sylvestre.

La semaine est longue, je le vois deux fois pendant cette période, que dire de la soirée chez mes parents à part une question de mère sur ma soi-disant colocataire qu’elle voudrait bien que je lui présente.
Colocataire s’appelant Mélanie, seule idée que j’ai eue quand je leur ai dit que je quittais le foyer familial étant majeur.
J’oubliais, mes études ou je leur ai menti n’étant pas retourné à la fac depuis la soirée à l’opéra de la Bastille ou Pierre m’a dépucelée.
Je suis contente que ces questions s’arrêtent là, j’aurais été obligé de leur dire que j’étais une courtisane, une poule de luxe, dans leur milieu bourgeois, ils n’auraient pas compris et se seraient fâchés avec mon amant.


Le jour de l'An arrive, dans mes affaires Pierre choisit mes vêtements, pas grand-chose sont ses maîtres mots, le tout avec ma pelure de mouton qui va me permettre de sortir sans me geler, la neige recouvrant Paris depuis trois jours.

Le taxi nous dépose devant ce que je crois être une boîte de nuit, dès que nous entrons, je vois le bar ou de nombreux couples sont comme nous en tenus très subjectives.
Tous font couler le champagne à flot, derrière un rideau rouge, j’entends de la musique, ce doit être la piste de danse.

• Bonsoir, Pierre, je vois que tu t’es enfin décidé à nous amener ta protégée, depuis que nous savons que tu as séduit la fille de qui nous savons, nous attendions avec impatience que tu nous montres de quoi elle est capable.
Tu sais que nous avons de grands desseins pour elle, du moins si dans les cinq minutes elle ne part pas en courant dire à son papa que ses amis sont d’affreux libertins.

Je ne comprends pas ce que Joseph l’autre copain de père et de mère fait là seul sans son épouse, encore moins ce qu’il veut dire en parlant de grands desseins pour moi.
Étant d’un naturel curieux et surtout ayant pris l’habitude aux jeux de mon amant, me souvenant de ce que je lui avais dit lorsqu’il m’a sodomisé que j’étais toute à lui, je me garde bien de poser la moindre question, je vide ma première bouteille de champagne.

• Suis-moi ma chérie, allons voir ce qu’il y a d’intéressant derrière ce rideau.

La musique que j’entendais jusqu’au bar ne provient pas de la pièce où nous entrons, mais d’une autre, cette pièce est un vestiaire, les deux femmes qui sont entrées en même temps que nous et qui sont directement passées ici sont déjà nue et fixent sur leurs seins un paréo rouge pour l’une, vert pour l’autre.

• Fais comme ces femmes, pose tes affaires, derrière ce deuxième rideau, nous n’aurons nullement besoin, regarde dans ce rayon, choisit le paréo de la couleur que tu veux, pour nous les hommes nous avons de grandes serviettes.


Joseph nous a suivis et nous franchissons le dernier rideau, j’avais à peu près compris, Pierre m’a amené fêter la fin de l’année dans un club échangiste parisien.
Nous nous installons sur des coussins, je regarde l’une des deux femmes, celle au paréo vert, le laisser tomber et venir s’enrouler sur l’une des nombreuses barres qui sont dans cette grande salle.
Plusieurs dizaines de couples ou d’hommes seuls et même de femmes comme je viens de le voir se font servir à boire, sur un pouf, une femme se fait prendre par un homme, un autre semblant les regarder.

• Es-tu étonnée mon cœur, je suis en train de te faire découvrir les nuits parisiennes que seule une poignée d’initié est capable de pénétrer, tu es ici avec l’élite de la perversité, si tu avais l’occasion de voir les comptes en banque de chacun d’eux, l’argent que nous avons dépensé ensemble depuis que tu es mienne, représenterait une goutte d’eau dans une bouteille d’un litre ?
• J’espère que père et mère ne viendront pas ici !

C’est Joseph assis au côté opposé à Pierre qui me répond.

• Tes parents se sont rencontrés dans une boîte comme celle-ci, mais qui a disparu depuis, à cause de la destruction d’un quartier que nous avons rénové.
Pierre, c'étaient les belles années, nous faisions banco chaque fois que nous signons une affaire, j’ai doublé ma fortune dans cette période-là.
• Et vous baisiez mère !
• Pourquoi crois-tu que Pierre a attendu ta majorité pour te séduire, nous sommes persuadés qu’une chienne met au monde une autre petite chienne plus jeune et dans les jours prochains je t’expliquerais ce que nous attendons de toi ?
Pour le moment, évite de te poser des questions profite de ta soirée.

Quand je disais que j’étais devenue la petite pute de Pierre, si j’en avais encore douté, ces propos me l’auraient confirmé.

• Jessika regarde la femme avec le paréo rouge, elle semble vouloir que tu ailles la rejoindre…

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